Ce n’est non sans une certaine émotion que je mets en ligne mon premier billet de feignasse. Deux conditions à remplir cependant pour qu’on ne m’en veuille pas trop :
- vous concernant, ne pas connaître le court-métrage qui va suivre (ou alors le connaître sans jamais l’avoir vu) ;
- me concernant, se rattraper la prochaine fois.
Aussi, ne laissez aucun a priori vous envahir en découvrant la vignette de présentation ou la durée de cette vidéo, vous risqueriez de passer à côté d’un divertissement mémorable. Contenez donc vos « Bordel ! un film en noir et blanc ! » ou vos « Diantre, 10 minutes, c’est super long ! ».
Comme indiqué en début de film, ce court est une adaptation d’Imbroglio, brève bande dessinée de Lewis Trondheim (22 planches), que je vous invite à découvrir également.
En prenant un peu de recul, et histoire de noyer le poisson, c’est aussi à un exercice de style que je me livre : vous présenter un court métrage et une BD succincte, le temps d’un éphémère billet. Remarquez, par là même, que le seul fait d’avoir entamé ce paragraphe allonge davantage l’article. Ou comment ne pas ménager ses efforts pour justifier sa paresse. Là encore, de savants paradoxes pour un simple jeu de dupes.
- The Bloody Olive, Vincent Bal, 1996 ;
- Imbroglio, Lewis Trondheim, 1992, L’Association.
C’était vraiment excellent, mes joues me tirent tellement j’ai souri le long de ce cm. Bref, merci pour la découverte V !