Si Eck, Enwyn et Bobo le font, pourquoi pas moi ? C’est dans cette optique que je me décide à présenter des mangas qui mériteraient d’être publiés en français. Choisir, c’est renoncer. Sauf que moi je choisis de ne pas renoncer. Du coup je ne vais pas lister ici-même trois ou quatre séries comme mes collègues, mais bien treize. Ouais, parce que les tops 10 c’est pour les petits joueurs (puis ça porte bonheur treize, non ?). Bon, au final j’ai quand même dû renoncer à quelques titres, car j’en attends bien plus que treize… J’ai donc décidé de me fixer une règle pour concocter cette liste : présenter uniquement des mangas d’auteurs qui ont déjà été publiés en France.
Et si certains éditeurs me lisent, qu’ils ne fassent surtout pas les timides et qu’ils piochent allègrement dans cette liste. C’est cadeau.
Innocents Shonen Jujigun (インノサン少年十字軍) d’Usamaru Furuya
De nouveau à la mode au Japon (notamment grâce à la sortie du film tiré de Litchi Hikari Club), Usamaru Furuya pourrait très bien l’être également en France sous peu. Si les éditions IMHO sont aujourd’hui dans le dur, n’oublions pas qu’ils doivent toujours publier les deux tomes de Notre Hikari Club. De plus, il semblerait qu’un autre éditeur ait acquis les droits de Joshikosei ni Korosaretai, le dernier manga de l’auteur. Alors quitte à ce qu’Usamaru Furuya revienne sur le devant de la scène, autant en profiter pour publier sa meilleure œuvre, non ?
Quel éditeur ? IMHO étant à l’arrêt, on peut compter sur Le Lézard Noir pour s’intéresser au titre. Un invité surprise pourrait se mêler à l’affaire, encore faut-il en avoir le courage.
Probabilité de publication : 90%
En deux mots : charme mystique.
Utsubora (ウツボラ) d’Asumiko Nakamura
Les histoires d’amour commencent mal, en général. Celle d’Asumiko Nakamura et la France en tout cas, puisque son premier manga à avoir été publié chez nous, Crazy Affair, n’était pas du tout représentatif de son talent. Heureusement qu’IDP a corrigé le tir, avec la sortie du sublime Doukyusei. Mais il y a encore mieux à faire. Si ses BL inédits sont géniaux (je pense notamment à J no Subete et Coponicus no Kokyu), l’autrice pourrait être accessible à un plus grand public avec la publication de son thriller nommé Utsubora et ainsi obtenir la reconnaissance qu’elle mérite.
Quel éditeur ? Après un titre comme Le monde selon Uchu, on espère que Sakka va continuer à publier des artistes talentueuses venant du monde du BL. Akata ou Kana pourrait être de bonnes alternatives, dans le but de publier des femmes dans un autre genre que le shojo. Enfin, on pourrait compter sur Ototo, les éditions Taifu (du même groupe) nous ayant fait découvrir Asumiko Nakamura.
Probabilité de publication : 75%
En deux mots : sensualité troublante.
Happiness (ハピネス) de Shuzo Oshimi
Dans l’intimité de Marie se terminant en France, un nouveau manga de Shuzo Oshimi pourrait prendre la relève. Et quoi de mieux que Happiness pour ça ? En effet, l’auteur semble plus inspiré que jamais tant au niveau de l’histoire qu’à celui de son style graphique. Il a su dépasser les normes du manga pour nous offrir sa meilleure œuvre jusqu’à présent. Et comme si ça ne suffisait pas, Happiness parle de vampires. Au-delà de l’intérêt que je porte au genre, c’est un thème qui a de quoi rassembler les lecteurs et faire connaître l’auteur. En cas de succès du titre, on pourrait très bien espérer lire en français un autre de ses classiques : Aku no Hana.
Quel éditeur ? Il semble que ce soit compliqué pour Akata, malgré la publication de Dans l’intimité de Marie. De ce fait, on peut compter sur Pika qui, en ce moment, pique tous les auteurs de Kodansha qui marchent un peu chez les petits éditeurs. Ou alors Ki-oon, juste car je trouve que le titre se marie très bien avec leur catalogue (de Blood Alone à Tsukihime).
Probabilité de publication : 100%
En deux mots : crocs hallucinogènes.
Junketsu no Maria (純潔のマリア) de Masayuki Ishikawa
Par où commencer… Merci Glénat de publier Moyasimon, déjà. J’adore ce manga, mais je me demande comment vous faîtes pour le vendre (surtout aussi cher)… Masayuki Ishikawa est un auteur talentueux que j’affectionne particulièrement pour le look de ses personnages et la puissance qui se dégage d’eux via leur centre de gravité (un équilibre qu’on retrouve dans vraiment peu de mangas). Si Moyasimon parle d’agriculture et de fermentation (en surface, car c’est aussi et surtout une fresque sociale et sociétale), Junketsu no Maria a l’avantage de se dérouler dans un univers fantastique à base de magie et de jolies femmes (c’est de suite plus sexy, hein). Et autre avantage : il n’y a que trois tomes (et un quatrième, en bonus).
Quel éditeur ? Je ne pense pas que Glénat retente le coup avec l’auteur… C’est dommage car il y avait mieux à faire ! Néanmoins, l’humour et le côté décalé du titre pourraient pousser Akata à le publier dans sa collection WTF. Les éditions Komikku étant friandes d’heroic fantasy pourraient très bien se joindre à la fête.
Probabilité de publication : 50%
En deux mots : cuir-magie.
Mikai no Hoshi (未開の惑星) de Jiro Matsumoto
Jiro Matsumoto est un auteur très talentueux dont la noirceur des œuvres n’a rien à envier à Suehiro Maruo ou Shintaro Kago. Si j’espère que ses mangas grand public comme Jigoku no Alice et Joshi Kohei seront un jour disponibles en français, j’éprouve un plus grand intérêt pour ses titres publiés dans la revue Manga Erotics F. Parmi eux, on trouve Becchin to Mandara (sûrement le plus connu du lot) mais aussi Mikai no Hoshi. Il s’agit d’un manga crade, comme il n’en existe pas deux.
Quel éditeur ? Les éditions IMHO avaient fait part de leur désir de publier Jiro Matsumoto. Il y a longtemps. Très longtemps.
Probabilité de publication : 10%
En deux mots : amoralement vôtre.
Ippo (イッポ) de Est Em
Est Em, encore une auteure connue pour ses BL… Tango étant son seul manga disponible en France, il faut se tourner vers les USA pour la découvrir plus en profondeur. Pas facile à vendre, je pense néanmoins qu’elle mérite sa chance et Ippo me semble être le meilleur manga pour la faire connaître au-delà des amateurs éclairés de BL.
Quel éditeur ? Kana, Akata, Sakka, bref n’importe qui osant publier des femmes. Et ça ne court pas les rues…
Probabilité de publication : 20%
En deux mots : cuir-maison.
Beageruta (ベアゲルター) de Hiroaki Samura
Sûrement le meilleur manga de Hiroaki Samura inédit en France (avec Bradherley no Basha, pas de jaloux). J’espère qu’il suivra la fameuse « année Samura » instaurée par les éditions Sakka (Snegurochka, Halcyon Lunch, Emerald et l’édition anniversaire de L’habitant de l’infini)(et Born to be on air que Pika n’a pas pu s’empêcher de dénicher) ne durera pas qu’un an, et qu’on aura droit à de nouveaux titres.
Quel éditeur ? Sakka donc, à moins que Pika ne joue les trouble-fêtes (espérons que le sexe cru les rebute, histoire d’avoir une jolie édition).
Probabilité de publication : 95%
En deux mots : pharmaco-létal.
Tomino no Jigoku (トミノの地獄) de Suehiro Maruo
Dans une ambiance proche de La jeune fille aux camélias, Tomino no Jigoku demeure le manga le plus accessible de Suehiro Maruo, et sera probablement son plus long. Désireux de tout lire du mangaka, j’attends sa publication en France avec tellement d’impatience que je ne peux m’empêcher de le commander en version originale (comme la plupart des mangas de la liste d’ailleurs, si je ne les prends pas en anglais ou en espagnol).
Quel éditeur ? La relation entre les mangas de Suehiro Maruo et Le Lézard Noir semblant au point mort (je ne parle même plus de l’activité d’IMHO), on va compter sur Sakka pour le publier.
Probabilité de publication : 80%
En deux mots : séparation douloureuse.
Yukibana no Tora (雪花の虎) d’Akiko Higashimura
Connue en France pour Princess Jellyfish, Akiko Higashimura est certainement l’auteur de josei la plus en vogue du Japon. Outre ses succès autant public que critique que sont Kakukaku Shikajika et Tokyo Tarareba Musume, la mangaka fait régulièrement la une du magazine Hibana avec Yukibana no Tora, un récit d’aventure centré sur un thème qu’elle affectionne : la frontière entre les genres.
Quel éditeur ? Non seulement les éditions Akata nous ont fait découvrir l’artiste (et ils publient en ce moment son petit frère, auteur de Séki) mais en plus ils ont la volonté de présenter des mangas au féminin différents. Inutile de dire qu’on compte sur eux !
Probabilité de publication : 80%
En deux mots : beauté féline.
Futago no Teikoku (双子の帝國) de Mohiro Kitoh
Deux enfants au milieu d’une guerre dans un monde futuriste, voilà une idée de départ relativement banale. Sauf que, détail qui a son importance, c’est Mohiro Kitoh qui s’occupe de la raconter. Les lecteurs de Narutaru et Bokurano retrouveront sa fascination pour les engins volants et les gamins matures, ainsi que toute la froideur de son trait décrivant les horreurs de l’être humain. Si l’univers est plus riche que jamais dans la bibliographie de l’auteur, le développement des thèmes abordés n’est pas en reste. Assurément une série de SF d’une qualité qu’on a du mal à égaler aujourd’hui.
Quel éditeur ? Komikku aime bien piocher dans la revue Comic @ Bunch. Mais c’est aussi le cas de Glénat (qui a l’avantage d’avoir publié Narutaru) et de Sakka (qui semble s’intéresser à la science-fiction). Affaire à suivre…
Probabilité de publication : 75%
En deux mots : vol planant.
Believers (ビリーバーズ) de Naoki Yamamoto
Le grand maître du manga érotique, c’est lui : Naoki Yamamoto. Connu en France pour la comédie romantique Asatte Dance, il faut savoir que l’auteur a écrit de très nombreux mangas sur le désir charnel. Le plus intéressant d’entre eux étant sans l’ombre d’un doute Believers, un trip mystico-sexuel insulaire faisant écho à la société japonaise.
Quel éditeur ? IMHO a relancé Naoki Yamamoto avec la publication de Blue et semblait avoir l’envie d’explorer sa bibliographie. D’un autre côté, il est probable que Le Lézard Noir s’y intéresse. La carrière de l’auteur étant riche, ils ne seront pas trop de deux pour faire le boulot…
Probabilité de publication : 80%
En deux mots : smiley pervers.
Nigeru Otoko (逃げる男) de Natsume Ono
Avec Nigeru Otoko, Natsume Ono signe l’un de ses plus beaux mangas et prouve à ceux qui en doutaient encore (s’ils existent) qu’elle est une grande mangaka. Un temps publiée en France grâce à Kana, elle a disparu des écrans radars. Si ses deux œuvres les plus récentes (ACCA et Lady & Oldman) regorgent de qualités, c’est avant tout ce one shot que j’ai envie de voir dans nos librairies. Vous nous manquez, madame Ono.
Quel éditeur ? Logiquement Kana. Non seulement car ils ont publié trois mangas de l’auteur, mais aussi car je trouve que l’ouvrage se fondrait très bien dans la collection Made in (ou Big Kana, un petit air de Sunny dans l’esthétisme, peut-être ?). Un autre éditeur publiant des récits dans la même veine que Nigeru Otoko n’est autre que IMHO (avec les livres de Shizuka Nakano ou encore de Shinya Komatsu), dont on ne cesse d’espérer un retour en forme.
Probabilité de publication : 20%
En deux mots : nôtre rencontre.
Omoide Emanon (おもいでエマノン) de Shinji Kajio et Kenji Tsuruta
L’histoire d’une rencontre aussi mystérieuse qu’envoûtante magnifiée par le trait de Kenji Tsuruta. Il se dégage une certaine poésie de ce manga, rendue facile d’accès par le fait qu’il soit adapté d’un roman. Une œuvre atypique qui le devient encore plus avec sa suite qui vaut elle aussi le détour : Sasurai Emanon.
Quel éditeur ? Les petits comme les gros… N’importe qui ayant la volonté de proposer une gamme de « romans graphiques » en somme. Ce serait un coup prestigieux si Komikku s’en emparait à mon avis. Sakka ayant publié l’auteur et Le Lézard Noir cherchant l’après-Chiisakobé pourraient aussi s’y intéresser.
Probabilité de publication : 70%
En deux mots : sans nom.
Mon petit tour des mangas que j’aimerais lire en français est désormais terminé. J’espère que certains auteurs auront attiré votre attention et que nos chers éditeurs se pencheront attentivement sur leurs cas. Allez, soyons positifs et croisons les doigts : on y croit !
perso j’attends Kaiji, Kingdom, Golgo 13, Shigurui :(
Bah il est sorti Shigurui, on a même l’anime qui arrive. Golgo 13 aussi (tu devrais revenir sur le blog dimanche d’ailleurs, tu risques d’avoir une bonne surprise). Pour Kaiji et Kingdom, en plus des dessins atypiques, c’est vachement long (mais ouais, je rêve de Kingdom…).
D’après, mon vendeur, les séries longues sont beaucoup trop risquées …. du moins, actuellement!!
Malheureusement (pour moi, qui aime les séries ayant un nombre de volumes, assez important), j’entends, que trop souvent : « .c’est bien, c’est court », « … il n’y a que 2 tomes, on le prend », « … Sa s’arrête à trois tomes, c’est bon ». Etc.:/
Alors… j’attends le Maruo, le Matsumoto, Happiness et le Naoki Yamamoto. Et évidemment le Furuya! (champagne, ce jour là, en l’honneur de mes innocents).
Utsubora et Beageruta, c’est pour moi très égoïstement secondaire, vu que je les ai en anglais. Pas prioritaire, en tout cas.
Mais c’est une belle liste, ça donne envie. En espérant que ça soit édité.
Merci pour le partage!
Pas le Kitoh ni même le Ono ? Je pensais qu’il t’interpellerait rien que pour sa couverture, ce dernier. Et puis il y a un très bel ours dedans (tu devrais vraiment lire Goyo, je ne sais pas ce que tu attends…).
Et toi, il y a des mangas que tu attends qui ne sont pas dans la liste ?
Pas prioritaires, non. Même si oui, la couverture de Ono a quelque chose d’envoûtant. Et Goyo est dans ma liste à acheter, j’attends des fonds!
D’autres mangas que j’attends:
– Bradherley no Basha, de Samura
– Garden et Teiishi no Kuni, de Furuya
– Tengoku ni Musubu Koi, de Koutarou Ohkoshi
– Hayami Jun (tout et n’importe quoi)
Evidemment tout d’Asumiko Nakamura et une multitude de BL (mais on n’a pas fini, si je dois tout citer).
Et j’attends de voir la suite du petit dernier du Shonen Jump, Yakusoku no Neverland (Kaiu Shiori et Posuka Demizu). J’ai lu le premier chapitre et l’idée me fait VRAIMENT de l’oeil.
Ah bah j’étais d’accord avec tout sauf avec le dernier, que je trouve vraiment mauvais (ça me soule que tout le monde en fasse des caisses avec…)(mais lui bien sûr, il sera publié).
Nigeru Otoko c’est vraiment un beau manga. Ca aurait même pu intéresser des éditeurs plutôt orientés BD indé d’un point de vue graphique. Il se rapproche beaucoup plus de ce type de BD que du mnaga pur. J’avais posé la question à Kana il y a quelques années pour d’autres Ono et il semble que ce ne soit guère dans leurs plans. Puis avec Naruto qui se termine =/ … J’ai souvent espéré voir Nigeru Otoko chez Viz mais là aussi, désistement de Ono après plusieurs one-shots >__<
Yukibana no tora, j'y crois aussi. Et Utsubora aussi (mais je ne crois pas l'acheter en double même si je devrais soutenir ce titre).
Je pense que Nigeru Otoko a de quoi faire prendre conscience aux amateurs de mangas/BD indés qu’il existe une dame qui s’appelle Natsume Ono et qu’elle est très talentueuse. Ce ne serait pas stupide de le publier avant ACCA (dont j’espère que l’anime va nous l’amener) et Lady & Oldman (il est tellement beau, comment ne pas le publier ?).
Entre les ventes de Naruto qui continueront sur des années et ses suites, je ne me fais pas trop de soucis pour Kana.
Utsubora, je le rachète sans perdre une seule seconde !
Il y a tellement de choses qui m’intéressent parmi ta liste, j’espérais déjà Emanon et Happiness (et Aku no Hana ;) ) mais les autres n’ont pas l’air moins intéressants, surtout ceux de Furuya, Ono, Yamamoto et Samura :) Certains ont pas mal de chance d’être édités, j’espère que ce sera le cas!
J’espère qu’on en aura au moins la moitié !
La couverture d’Omoide Emanon est à tomber. Ça me fait sacrément envie. D’ailleurs, ça me rappelle Forget Me Not (un manga imparfait mais qui avait son p’tit charme).
Je l’avais bien aimé ce manga justement, mais je lui préfère Emanon. Il est mieux raconté et plus intéressant. Tu aimerais, je pense.
Ah ben d’accord, c’est bien le dessinateur de Forget me Not, ce n’est pas pour rien que ça me l’évoquait :’)
Mais, il ne fallait pas se restreindre (en plus, le 13 porte malheur [selon, certains]).
Les couvertures, à eux seuls, donnent envies!!!!
Malheureusement, étant le contexte économique ET la frilosité des éditeurs :/
Il faudrait, qu’Akata et d’autres petits éditeurs aient des « locomotives » ; pour leurs permettre de prendre des (gros) risques et des publications peu rentables (et, même, à pertes).
J’ai demandé à « mon » vendeur (spécialisé en manga) , pourquoi « Glénat » ne sortait pas plus de titres peu commerciaux ; puisqu’ils devraient avoir les moyens (ayant des « locomotives »).
Il m’a répondu, que « Glénat » faisait encore de la Bande Dessinér, et que la BD était très dure : trop de concurrences, trop de sorties, etc.
Bah récemment ils ont sorti L’ère des cristaux, Knights of Sidonia, Jabberwocky, Moyasimon, Vertical, Les enfants de la baleine, Love in the Hell, La tour fantôme etc. C’est pas mal non ? Il n’y a pas que Tokyo Ghoul et Ajin chez l’éditeur.
Humm, d’après ce que j’ai entendu, les éditeurs doivent acheter : « en pack »…. s’ils veulent une histoire ou certaines histoires, ils doivent en acheter d’autres, avec.
Donc, ils ne sortent pas tous les manga, qu’ils veulent….
Ou, certains manga par choix (plutôt, par obligations)
Plus exactement, on ne sait quels sont vraiment leurs choix (par rapport, à leurs obligations [d’éditer certains titres]).
J’attends ça moi : http://www.interforum.be/FR/fiche-livre.awp?P1=631598&AWPIDC1FCC724=BA6BE599E06742218404E324829AB7BB85C55089
Waaaa, c’est génial !
Bon après pour la date, la couverture… c’est pas forcément définitif.
Jolie sélection, je te suis sur plusieurs titres. D’abord Ippo et Nigero Otoko parce que n’importe quel titre de Est Em ou Ono Natsume qui sortirait je l’achèterais. J’ai déjà lu Nigero Okoto en scan mais c’est avec plaisir que je lirais une édtion française ^^
Utsubora je l’ai acheté en anglais. J’ai aimé. Je retiens aussi Omoide Emanon de Kenji Tsurata. Je viens de découvrir l’auteur avec Forget-me-not et j’ai beaucoup aimé son style.
Reste plus qu’à espérer ^^
J’aime beaucoup Forget-me-not mais je trouve Emanon beaucoup plus intéressant. J’espère qu’un éditeur lui laissera sa chance (il est publié en espagnol en ce moment d’ailleurs).
bon à savoir ! si jamais il ne sort pas en France, je pourrais toujours m’acheter la version espagnole ^^
J’attends Emanon comme le messie pour être franc.
Après y’a aussi:
-Nijigahara holograph (il me semble pas qu’il soit sorti en France)
-Golondrina de EstEm qui est très joli
-Strech de Higashiyama shou que je vois bien sortir
-Murasakiiro no qualia qui me ferait très plaisir de voir ici
Ça m’a fait tout drôle de voir le monde de ran sortir en France quand même, et du coup j’ai l’espoir de voir d’autres choses intéressantes arriver ici.
Nijigahara Holograph est sorti en France sous le titre de Le champ de l’arc-en-ciel.
Ok, deux secondes, j’ai une commande à passer :)
Par contre, il est en arrêt de comm’ chez Panini… ça va être compliqué de le trouver en neuf.