Bilan 2022 : une bien belle année

On ne va pas se mentir, je ne suis pas le rédacteur le plus prolifique de la Team Nostroblog voir même de la blogosphère actuelle. Mais l’envie d’écrire se faisant de plus en plus pressante, j’ai profité du cap de la nouvelle année pour trouver un sujet simple à traiter: mon bilan culturel 2022. Un petit tour d’horizon de tout ce que j’ai aimé écouter, voir et jouer. En ce qui concerne la lecture, j’ai totalement lâché ce support alors que j’ai quand même sur le même blog une quantité incroyable de conseils. Peut être qu’en 2023, je vais me remettre à lire ? En voila un objectif intéressant. En attendant d’en reparler au bilan 2023, voici celui de l’année écoulée en toute subjectivité.

La musique au fil des saisons

Ma review Spotify a été catégorique, j’ai abusé des sons d’Orelsan et de son album Civilisation sortie en 2021. J’ai vu l’artiste caennais deux fois en concert en 2022 et j’ai pris deux claques de part l’énergie déployée et le show visuel. Autre artiste vu en concert, Jack White. J’ai fait une chronique à son sujet en avril 2022 après la sortie de son album Fear Of The Dawn puis je l’ai vu en live au mois de juillet. Un rêve réalisé, de voir une idole exécuter sa musique avec minutie. Aussi j’ai appris à réécouter un artiste en live. Tout simplement parce que Jack White fait partie de ces artistes qui interdisent l’utilisation du smartphone afin que le public se focalise sur l’expérience du live. Pour garder un souvenir il faut se satisfaire des photos officielles ou tout conserver en tête. Et en parlant de souvenir, j’ai découvert le même soir, le groupe Ko Ko Mo qui assurait la première partie. Un duo nantais à la musique influencée notamment par Led Zeppelin et les 70′ qui rebooste le rock français.

Jusque là, je suis assez prévisible, alors tentons le contre pied et parlons d’albums que je n’ai pas forcément écouté en boucle mais qui m’ont accompagné, fait du bien, voir même secoué.

Spoon – Lucifer On The Sofa

Vous voulez être consterné? J’ai découvert Spoon en 2022 alors que ce groupe originaire d’Austin (Texas – USA) existe depuis 25 ans et Lucifer On The Sofa est leur dixième album. Écoutez, c’est une excellente porte d’entrée, tout simplement parce que cet opus ne possède aucun mauvais titre. Aux commandes, Britt Daniels, sa voix cassée et puissante chevauchent des riffs de guitare tantôt incisifs, tantôt enivrés. Difficile de ne pas hocher la tête sur un The Devil & Mister Jones ou sur Wild qui sonne comme du rock classique mais très efficace. Aussitôt les 38 minutes avalées, j’ai mon appétit qui s’est considérablement ouvert histoire de rattraper 25 ans d’un groupe qui m’a terriblement manqué sans que je le sache.

Roseland – Unsaid Words

Derrière Roseland, il y a Emeline Marceau, une artiste issue de la scène bordelaise qui fait partie du duo Genial Au Japon (que je vous invite à découvrir). Unsaid Words est son second album et s’ouvre sur un son assez oppressant avec des nappes de synthés très lourdes (Eternal Eyes). Puis vient All I Want libérateur, qui révèle toute la créativité de la chanteuse avant de laisser cavaler du synth-rock qui bouleverse par ses ambiances variées et sa mélancolie lancinante. 

Soccer Mommy – Sometimes, Forever

Si il y en a pour qui la pandémie a été salvatrice, c’est bien Sophia Allison qui se cache derrière Soccer Mommy. Avec Sometimes, Forever la native de Nashville est revenue à une ambiance moins sombre que sur Clean Theory son album précédent. On a ici une artiste 100% indie rock qui dilue ses influences à la PJ Harvey ou encore Sheryl Crow et bien d’autres pour livrer des morceaux puissants, avec des teintes différentes à chaque nouvelle piste écoutée. Très rock 90 dans ses compositions, Soccer Mommy est pourtant une artiste très moderne.

Alvvays – Blue Rev

On reste dans la formule faire du neuf avec du vieux avec les canadiens de Alvvays qui ont sorti Blue Rev un album très ramassé avec 14 titres en 38 minutes. Avec une énergie maîtrisée et généreuse, la musique d’Alvvays risque de plaire à un public large si celui-ci aime My Bloody Valentine, les Pixies, les Strokes, REM et j’en passe.

Pour finir ce segment musical déjà très long parlons, de mes deux coups de cœur de l’année avec Ethel Cain et son album Preacher’s Daughter et Carla Geneve avec Learn To Like It.

Comment définir la musique d’Ethel Cain. Cette jeune artiste de 24 ans a reçu une éducation profondément religieuse et est attachée aux valeurs chrétiennes. Cependant elle explique ne pas vraiment se soucier de Dieu. Au départ influencée par la musique chrétienne et les chants grégoriens, c’est finalement vers le rock alternatif qu’Ethel Cain s’est tournée. Elle aborde dans ses textes des sujets de société tel que la pauvreté ou les violences conjugales. Dans ses compositions on retrouve des rythmes toujours très lent, une basse lourde et cette voix qui parfois rappelle une Lana Del Rey. On ressort par vraiment indemne d’un tel album dont l’esthétique offre une certaine beauté qui rappelle cette éducation très pieuse. 

En ce qui concerne Carla Geneve, j’ai déjà parlé de cette artiste lorsque nous faisions des reco hebdomadaires par ici. Elle est australienne, fait du rock indé et propose une musique qui pourrait rappeler Alanis Morissette ou Texas. Learn To Like It est un de mes albums de chevet.

Voilà pour ce qui concerne la musique en 2022. J’aurai pu parler de biens d’autres artistes mais à un moment, il faut faire des choix. C’est fait !

Petite lucarne, grands spectacles

Promis, je vais faire plus concis pour ce qui concerne cette section (NON). N’ayant mis les pieds dans une salle obscure qu’une seule fois en 2022, j’ai appris à consommer ce médium différemment et à patienter. La nouvelle chronologie des médias fait que maintenant dans les services de streaming ou à la télévision, les films arrivent plus rapidement.

Et c’est avec Canal+ que j’ai le plus consommé de films et que j’ai pu apprécier The Batman de Matt Reeves. Quel plaisir de découvrir un nouveau traitement du chevalier noir et de le voir redevenir un détective qui arpente les rues de Gotham au sol. Si j’entends parfaitement que le film est bien trop long, en ce qui concerne le scénario (que je vais prendre soin de ne pas évoquer) je suis moins d’accord. Le justicier enquête sur une attaque moins impressionnante que ce qu’a pu proposer Christopher Nolan ou même Zack Snyder dans BvsS. Je trouve ce Batman plus humain, plus réaliste », plus fragile également mais surtout beaucoup plus gothique que ses prédécesseurs. Évidemment il est très politique mais suinte moins le 11/09 que la trilogie Nolan. Pour moi, The Batman possède une viscéralité qui manquait dans sa représentation sur grand écran.

Beaucoup moins gothique et sombre, The Bear est une des rares séries que j’ai suivi. Carmy est un prodige de la cuisine qui évolue dans le milieu de la grande gastronomie. Après le décès de son frère qui tenait une sandwicherie à Chicago, il rentre au bercail et prend le relai au sein d’une cuisine aussi anarchique qu’attachante. Disponible sur Disney+, The Bear est une série de 8 épisodes dont la durée varie entre 20 et 50 minutes et possède un casting qui en impose tellement qu’on croit à chaque personnage. De plus, la réalisation est ultra nerveuse, et au plus proche des acteurs, ce qui crée une immersion totale. Par contre, entre Jeremy Allen White et la nourriture à l’écran, on a faim tout le temps.

Petit crochet rapide vers Uncoupled que j’ai découvert sur Netflix. Cette série met en scène Neil Patrick Harris (How I Met Your Mother) fraîchement largué après 17 ans de relation qui tente de se reconstruire à 40 ans en explorant les lieux de rencontre de Manhattan. Crée en partie par Darren Star dont la filmo restera secrète pour ne pas vous influencer, cette série gay m’a beaucoup séduit mais n’appartenant pas à la communauté concernée, peut être que je rate des points clés en terme d’analyse. Il n’empêche que je lui trouve un traitement de la drague passé un certain âge assez intéressant. En revanche, tout comme la majorité des séries de ce genre, on ne trouve que des physiques bien propres et beaux. Le newyorkcentrisme à son sommet. Je ne sais pas si une saison 2 est au programme mais Uncoupled reste une série relaxante à défaut d’être la future Friends ou HIMYM des 2020’.

En 2022, j’ai découvert Neal Brennan, comique américain qui a notamment travaillé avec Dave Chapelle dans les années 2000 sur le Chapelle’ show. 

Dans Blocks, disponible sur Netflix, Brennan se présente sur scène avec un décor composé d’objets qui vont chacun déclencher chez lui soit une anecdote soit une réflexion toujours très corrosive. Egalement sur Netflix, il existe 3 Mics, moins récent que Blocks mais très intéressant. Ici l’humoriste passe devant trois micros différents installés sur scène et s’essaie à trois exercices de style. Il y a d’abord le One Line consistant à sortir une punchline en une phrase. Ensuite il part dans quelque chose de plus classique avec des points de vue sur la société et enfin le micro central est dédié à sa vie privée et il s’exprime sur sa dépression, sa relation avec son père etc. Très sobre, touchant dans son émotion, Brennan est sans aucun doute une de mes découvertes préférées de 2022. Note: Les deux show sont dispo avec sous-titrage français.

Backlog Infinite

2022 aura été le marqueur d’un véritable virage dans mes goûts. J’ai fait très peu de superproductions (AAA) et j’ai été adepte du: jouer pour pas cher. Via le programme PS Plus de PlayStation j’ai pu découvrir des pépites, en refaire d’autres. J’ai aussi utilisé l’abonnement EA Play pour replonger dans la trilogie Mass Effect et redécouvrir son deuxième épisode que je trouve le plus réussi. La préparation et le déroulement de cette mission suicide possède de nombreux moments épiques mis en valeur par une écriture fluide et sa dramaturgie constante. En revanche, je suis de plus en plus sceptique sur ces jeux qui proposent une histoire avec un caractère urgent mais qui laisse le temps de se promener dans l’univers. 

Bon Mass Effect c’est sympa mais ce n’est pas trop 2022. Figurez vous que j’ai joué à très peu de jeux sortis cette année. Enfin comparé à l’offre globale, je pense que je ne dépasse même pas les 3%. Du côté des « indés » soutenus par des gros éditeurs, il y a eu Stray et son héros félin qui propose une aventure brillante dans un univers cyberpunk avec une petite ambiance horrifique savamment dosée. Sorti dans l’été, Cult Of The Lamb m’a réconcilié avec les Rogue Like/Lite grâce une difficulté très permissive. L’aspect « animal crossing » est un vrai atout car il permet de temporiser l’aventure et de se préparer tranquillement à visiter les donjons. Je vous recommande la BO signée River Boy.

Toujours chez les indés, il y a South Of The Circle, une mini aventure de 2-3 heures qui raconte l’histoire d’un couple, de pression professionnelle et surtout de patriarcat. Très épuré, et simple dans son animation, ce jeu m’a marqué par son propos.

On continue avec Tinykin un plateformer 3D avec une composante puzzle game qui fait penser à du Pikmin mais surtout à Mario 64. On incarne Milo, un archéologue désireux de comprendre les origines de l’humanité. Il s’écrase sur Terre et se retrouve réduit à la taille d’un acarien, il va devoir construire une machine pour rentrer chez lui en fouillant les différentes pièces d’une maison qui semble être resté figée dans les années 90. Milo va être aidé des Tinykin, des petites bêtes dont la couleur fait varier les spécificités. Chaque “niveau” possède une verticalité impressionnante et le gameplay plonge dans ce fameux “flow” consistant à provoquer une ’immersion qui s’arrête une fois que le niveau est nettoyé à 100%. Le final prend le joueur à contre pied en termes d’émotion. Sans doute une des merveilles de 2022.

Très petite aventure textuelle Mothmen 1966 raconte l’histoire de quatre personnages qui se rencontrent le soir de la nuit des Léonides en 1966. Cette pluie de météorites qui a lieu tous les 33 ans (1966, 1999, 2032) est le contexte qui va justifier un phénomène paranormal. Comme dit précédemment, c’est un jeu très court d’à peu près 1h où il n’y a que du textes et des choix de réponses à faire. Bien écrit, ce jeu vous fera passer une soirée sympathique en repensant à quelques épisodes d’X-Files.

Juste avant de vous parler de mon GOTY, évoquons le remake de la trilogie Mafia avec son premier épisode que je n’avais pas touché depuis sa sortie au début des années 2000. GTA Like se déroulant aux USA entre 1930 et 1938 en pleine Grande Dépression, MAFIA premier du nom est en 2022 tout ce qui a de plus classique mais agréable à faire. Je me suis aussi penché sur Hitman I et II qui sont des jeux bac à sable incroyable. IO Interactive son développeur est en train de travailler sur un jeu James Bond et j’ai toute confiance en eux. D’ailleurs le premier niveau de Hitman II a tout d’une intro des aventures de 007.

Avant de conclure sur mon jeu de l’année (deuxième teasing), comment passer à côté de God Of War Ragnarok, la suite du jeu éponyme sortie en 2018. On retrouve Kratos et son fils Atreus toujours dans la mythologie nordique qui après avoir affronté Baldur vont devoir se frotter à Thor et Odin. On est ici dans une continuité totale puisque rien n’a vraiment bougé, comme si nous mettions nos petites pantoufles bien rembourrées. Kratos est toujours aussi plaisant à jouer, le gameplay de l’orfèvrerie et l’univers d’Yggdrasil abonde de lieux à explorer. En ce qui concerne la narration et le rythme, je le trouve un peu trop bavard pour son propre bien, trop désireux de surexpliquer voir de surexploiter des personnages. Petit spoiler: dans Ragnarok, on incarne tour à tour Kratos et Atreus et les passages avec ce dernier ne sont pas tous très pertinents ou du moins ils se noient dans un rythme trop haché . Il en ressort tout de même un jeu incroyable qui traite de la relation père fils et de la quête d’identité. Pour finir sur ce God Of War, j’ai été fasciné par la représentation de Thor et Odin. Ayant été biberonné par l’imagerie Marvel qui ont fait de ces dieux des personnages très beaux, quasi parfait, on a là des choix artistiques qui en sont l’opposé. Ici Odin transpire le savoir et la sagesse, mais aussi se montre fin stratège derrière un physique de vieillard.

Quant à Thor on est plus proche du Chris Hemsworth époque Avengers Endgame mais en plus colossal et surtout psychologiquement détruit par ce qu’a fait Kratos. Au niveau casting, je n’ai pas relevé les noms mais Odin et Tyr sont ceux qui m’ont le plus marqué que ce soit en VO ou VF. God Of War Ragnarok est un jeu vidéo qui impressionne, il y a beaucoup de choses à analyser dans ce qu’il ne dit pas explicitement.

On y est, Immortality est le jeu qui m’a donné des frissons pendant une dizaine d’heures. J’ai profité d’un mois de game Pass offert grâce à l’achat d’un nouvel ordinateur (qui me permet d’écrire ces lignes) pour me plonger dans le dernier jeu de Sam Barlow (Her Story, Telling Lies). Parler d’Immortality sans trop en dire est un vrai casse-tête. D’autant plus qu’il est extrêmement clivant, plus que les derniers jeux de Barlow. Premièrement, comme ces prédécesseurs, Immortality utilise la FMV soit des images tournées en réel sur lequel on adapte du gameplay. Un choix artistique qui peut dérouter. Ensuite l’histoire d’Immortality vous positionne dans le rôle d’un monteur qui doit comprendre ce qui est arrivé à l’actrice Marisa Marcel qui a joué dans trois films qui ne sont jamais sortis. Petite étrangeté, dans les trois films qui sont espacés d’environ 10 et 25 ans, la jeune femme n’a pas bougé physiquement.

Au début du jeu, le joueur découvre un banc de montage et une vidéo d’interview de Marissa Marcel dans ce qui ressemble à un morning ou late show. En cliquant sur différents éléments de la vidéo, le joueur va plonger dans d’autres extraits vidéos qui pourront être revus dans le « hub » principal. Ces vidéos peuvent être triés par ordre chronologique ou par films concernés. On découvre donc des extraits d’interview, de films, de coulisses, des lectures de scénario, des répétitions etc. Petit à petit l’enquête va amener son lot de révélations déroutantes. 

Il est conseillé de jouer à immortality au pad Xbox et avec un casque. Les vibrations de la manette apportent un vrai plus et le son permet d’approfondir les recherches.

La formule de Barlow démarré dans Her Story atteint sa forme parfaite ici. Le concepteur qui a démarré sur la licence Silent Hill offre ici sa vision du cinéma, son amour pour le médium et n’hésite pas à égratigner un peu. Toutefois, je reviens sur l’aspect clivant car on peut atteindre la fin du jeu très rapidement, sans comprendre comment et ainsi rater des passages importants. Du côté du casting, on a beaucoup parlé de Manon Gage qui joue Marissa Marcel mais elle n’est pas seule et c’est très frustrant de ne pouvoir en dévoiler plus. Sachez juste qu’un autre personnage existe dans le jeu et il a provoqué chez moi des émotions que j’avais jusque là peu ressenties dans un jeu vidéo. Manon Gage aurait mérité d’être lauréate aux derniers Game Awards face à Christopher Judge jouant Kratos dans God Of War. Pour sa prestation hallucinante et tout ce qu’elle incarne dans un Immortality qui ne quittera jamais ma mémoire.

Comme je le disais au début de cet article, j’ai beaucoup utilisé les programmes en ligne dont le PlayStation Plus qui s’est vu offrir un petit lifting avec trois formules à des tarifs différents et donc un catalogue adapté à chaque palier. Le premier a 10€ se contente des deux jeux offerts par mois, entre les deux autres formules à 14 et 17€ la différence se note sur du jeu vidéo en streaming, des versions d’essais, et un catalogue de classique PlayStation. Par contre c’est un service peu ergonomique, il faut s’accrocher pour trouver ce que l’on veut.

C’est d’ailleurs via la formule Extra que j’ai pu découvrir Deliver Us The Moon, un autre coup de cœur de l’année (juste après Immortality). Il s’agit d’une aventure spatiale où on incarne une astronaute en mission de sauvetage. C’est par l’annonce de sa suite dans l’été 2022 que j’ai découvert qu’il existait donc un premier jeu. L’expédition sur Mars sortira début 2023.

Une chose encore positive, j’ai jamais autant utilisé ma PS4 et de ce que je sais, j’ai encore de la matière à lui fournir. Jusqu’à ce que son état m’impose de passer à une console plus moderne, sous réserve d’en trouver une.

Mes attentes et envies déjà dispo pour 2023:

Breath Of The Wild 1 et 2 – Potion Craft – Weird West – Tunic – Crisis Core FF VII – Evil West – Lies Of P – Elden Ring -Rollerdrome -Yuppie Psycho – Signalis – Road 96 – Control 2 – Max Payne remake – Resident Evil 4 – Deliver Us Mars – Atomic Heart – Like a dragon ishin – SacriFire – Demonschool

Au final, cela aura été une année sympathique, mais qui peut paraître maigre en comparaison de l’offre existante. Peu de jeux mais je n’ai eu que des bons feeling et beaucoup de plaisir. Je n’évoque pas ce qui me sont tombés des mains en qq secondes, je mets ça sur le fait que je ne suis pas le bon public. 

Nous arrivons sur les dernières lignes de ce très long bilan. 2022 peut désormais refermer ses portes pour moi de manière définitive et outre l’aspect culturel, j’espère y avoir laissé beaucoup d’éléments toxiques que la musique, le cinéma ou même les jeux vidéo m’ont aidé a exorciser.

Prenez soin de vous. 

LE RECAP:

The Batman: actuellement disponible sur Canal+ et plateformes VOD + support physique

The Bear: Disney+

Uncoupled: Netflix

Blocks + 3 Mics: Netflix

Stray: PS4, PS5 – DEMAT

Cult Of The Lamb: PS4, PS5, Xbox Series, Xbox One, Switch, PC – DEMAT

South Of The Circle: PS4, PS5, Xbox Series, Xbox One, Switch, PC, Apple Arcade – DEMAT

Tinykin: PS4, PS5, Xbox Series, Xbox One, Switch, PC – DEMAT

Mothmen 1966: PS4, PS5, Xbox Series, Switch, PC – DEMAT

God Of War Ragnarok: PS4, PS5

Immortality: Xbox Series, PC, Netflix (iOS, Android) – DEMAT

Deliver Us The Moon: PS4, PS5, Xbox Series, Xbox One, PC – DEMAT

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