Food Wars met Yves Camdeborde et les cuisiniers de Masterchef à la rue !

food-wars-1-tonkamArrivé il y a quelques mois en France via les Editions Tonkam, Food Wars – ou Shokugeki no Sôma pour ceux qui préfèrent le titre japonais – a eu le droit à une adaptation animée remarquée qui vient de commencer sur ADN. Cependant, avec un fanservice utilisé à outrance dans ses premiers chapitres (ou premiers épisodes selon le médium que vous suivez), le titre ne laissait pas une très bonne première impression. Alors, fanservice d’accroche ou cache-misère ? C’est ce qu’on va tenter de découvrir aujourd’hui.

Food Wars raconte l’histoire de Sôma, un jeune garçon qui travaille depuis toujours avec son père dans leur restaurant familial Yukihira. Alors qu’il passe son temps à affronter son père pour le forcer à reconnaitre son talent, le jeune garçon ne se rend pas compte qu’il ne lui manque qu’une seule chose pour y arriver : de l’expérience. Son paternel partant pour cuisiner pour des hôtels de luxe autour du monde, Sôma se retrouve inscrit presque malgré lui dans une école pas comme les autres : l’Académie Totsuki. Sa spécificité ? Les élèves s’affrontent dans des combats culinaires qui mettent en jeu tout et n’importe quoi ! Sôma va se rendre compte qu’il n’est pas le seul à être doué en cuisine et ainsi comprendre pourquoi son père l’a envoyé là…

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Mad Max – Miller remonte sur le trône (SPOILERS)

Ce fût difficile mais j’y suis parvenu. Rentrer dans la salle de Mad Max en ayant vu que très peu d’images et en conservant une hype totale. George Miller est revenu avec un Max contemporain tout en conservant le viscérale des opus précédents.

La filmographie de Miller est tout à fait particulière presque succulente tant elle surprend. Sa saga Mad Max représente 1/3 de sa carrière dans laquelle on trouve Happy Feet 1 et 2, Babe 2 ou encore Lorenzo. Ce dernier est d’ailleurs le dernier effort « réaliste » de Miller et remonte à 1992. 23 ans plus tard et 30 ans après le dernier épisode de sa mythique trilogie, le réalisateur australien lâche les chevaux sur l’autoroute de l’action frénétique. What a lovely day. Lire la suite

Area 51 – Mulder et Scully peuvent aller se rhabiller

area-51-1-castermanEn France, bien rares étaient ceux qui connaissaient le nom de Masato Hisa avant le début de cette année 2015. Les éditions Glénat, par un coup de génie, se sont décidées à publier Jabberwocky, petit bijou de « japoniaiseries » comme on les aime avec des dinosaures (russes -spécial dédicace à @Sedeto), des complots et une ligne directrice « plus random tu meurs » ! Casterman fait encore plus fort en nous offrant la dernière oeuvre du maître. Dites-vous qu’il a eu le temps de parfaire son style graphique atypique et de nous trouver un scénario aux possibilités encore plus nombreuses… Lire la suite

Rin Backstage : Idols Forever !

Voici que débute avec ce premier article, une série de critiques ou analyses (comme vous voulez) des sorties Hentai de la collection 100% Sans Interdits de chez Taifu. Cette chronique est pour moi l’occasion idéale d’associer une passion dévorante pour le Hentai ainsi que le plaisir de vous faire découvrir une pléthore de titres, d’auteurs et de styles trop souvent laissés pour compte du fait de leur caractère assez cru. Autant être clair, il ne s’agit pas ici de poster du porno à tout bout de champ, non, ici sur Nostroblog le bon goût est le maître mot. Dans ces lignes nous allons tâcher de nous rapprocher au plus près de cet univers interdit qu’est le Hentai. Pas de panique donc, les plus pieux d’entre vous peuvent se rassurer, on restera soft c’est promis.

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En plus, leur logo pète la classe.

Avant toute chose, parlons un peu de cette collection encore très jeune, puisque lancée en mars 2013. Ayant débuté avec des titres sûrs dans le genre comme How Good Was I de Yamatogawa et My Lovely Bitch de Akewo Amatake, la collection peut se vanter de proposer du contenu d’excellente qualité (format 15cm x 21cm, comme pour les Hentai en vo et couverture glacée) et ce, sans censure, de quoi faire plaisir aux amateurs du genre. Depuis lors, elle ne cesse de continuer à nous surprendre en nous proposant un large catalogue de recueils aussi divers que variés à un rythme plutôt soutenu : un bon point pour l’éditeur.

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Prison School : Sur le chemin de l’école

Article_Nostro_PS_1S’il y a bien une série qui m’a fait longtemps saliver au point de vouloir une publication en France, il s’agit bien de Prison School (Kangoku Gakuen pour les puristes) d’Akira Hiramoto. Prépublié au Japon dans le Young Magazine depuis 2011, elle est toujours en cours de d’édition à hauteur de 13 volumes, et connaît un certain succès dans l’archipel. En France, c’est désormais chose faite grâce à Soleil qu’on remerciera pour son audace et son bon goût en matière de sélection.

Avant de commencer les réjouissances, revenons un peu sur l’auteur.
Akira Hiramoto, le mangaka, n’en est pas à son premier jet, déjà auteur de “Ago nashi Gen to Ore Monogatari” (comédie, Young Magazine) et de “Me and the Devil Blues” un thriller bien rythmé en 4 tomes disponible chez Kana, il peut se vanter d’avoir un certain pied dans le milieu. Quelques années plus tard, on le verra s’essayer à un genre plus mature (Ecchi/Borderline) avec “ Yarisugi Companion to Atashi Monogatari ” (publié dans le Young Magazine) et pour ensuite continuer avec “Prison School”, qui va aujourd’hui nous intéresser.

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Abenobashi : Fantasme otaku chez Black Box

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Adaptation d’un animé en treize épisodes produit par Gainax en 2002, le manga Abenobashi arrive en grand format chez un éditeur qui sait se faire discret en termes d’annonces mais qui choisit vraiment bien ses titres. J’aurai d’ailleurs le plaisir de vous faire découvrir Black Box un peu plus en détails lors de mon dossier sur Masako Yoshi, véritable pilier du lancement de l’éditeur (il viendra un jour, promis !). Pour l’instant… Place aux loufoqueries d’Abenobashi !

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Kawaii Pop Trash

Cela fait déjà un bon petit bout de temps que je voulais découvrir les œuvres de Junko Mizuno. Depuis le hors-série d’AnimeLand sorti à l’été 2006. C’est dire si ça date. Pour m’initier à l’auteur, parmi ses titres déjà disponibles chez Imho, j’ai préféré commencer par sa trilogie de contes : Cinderalla, Hansel & Gretel et La Petite Sirène. Tous exprimant la sensibilité mais aussi l’évolution de l’auteur.

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Ogenki Clinic: la comédie érotique maudite

Stoppée après un album publié par Samurai en 1994, avant qu’Albin Michel en sorte deux entre 1996 et 1997, la série de Haruka Inui paraît être sous l’influence d’une malédiction. Mais l’espoir de lire les 9 tomes composant la série reprend en 2010 quand 12 bis publia le premier volume. Malheureusement, un an plus tard l’éditeur arrêta sa collection manga et Ogenki Clinic par la même occasion. C’est donc à partir des 3 volumes publiés chez 12 bis que je vais aborder ce manga.

Allons bon, avec un peu de chance le prochain éditeur qui reprendra le titre arrivera jusqu’au quatrième tome.

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