Après un premier dossier sur l’art contemporain chinois suivi d’un second, plus « léger », sur du théâtre japonais, il serait peut-être temps de revenir à des sujets fripons ou libidineux. Propager des écrits sur des sujets méconnus qui nous tiennent à cœur est fort louable. Toutefois, il s’agit de rester conscient qu’ils peuvent être jugés trop soporifiques/longs. Laissons donc Liu Hong et Motohiko Shigeyama attendre sagement de tomber dans l’oubli au fond de l’étagère des WC, quelque part entre trois piles de rouleaux Moltonel™ et une bouteille de naphta lourd. Ou pas.
Vous voulez donc du cuissot ferme ? Une traque sanglante ? De l’entrejambe capiteuse ? Un bestiaire effrayant ? Des buffets délicatement ouvragés ? Un royaume au bord du chaos ? De la perversion poétique ? Une horde de créatures malfaisantes ? Des silhouettes kafkaïennes en diable ? Du steak tartare ? De la chair crousti-croquante à foison ? Une boucherie mettant les bouchées doubles ?
Pervers Caster, raconte-nous une histoire !