Cela fait quelques années maintenant que j’ai découvert mon genre musical de prédilection, et ne me lasse pas d’en écouter plusieurs grands groupes. Il s’agit du post-punk/new wave. Pourquoi accoler ces deux genres en même temps me direz-vous ? D’une part parce que la distinction est mince, et d’autre part car il est communément admis que beaucoup de groupes qualifiés de post-punk à la fin des années 1970 ont été assimilés au mouvement new wave dans les années 1980.
Mais vous, lecteurs de Nostroblog, vous vous demandez pourquoi je vous fais la promotion de ce courant musical en particulier ? D’autant plus que nous n’avons pas l’habitude de parler musique… Eh bien, tout simplement parce que j’associe facilement l’esthétique sonore de ces artistes à l’esthétique visuelle des fictions cyberpunk de cette époque que nous apprécions et que les auteurs que nous préférons apprécient, à l’instar d’Akira, la Trilogie Nikopol ou le film Blade Runner. Tous ces éléments culturels ont des thématiques communes : la dystopie, la peur du nucléaire, la violence urbaine, la contestation, une mentalité gothique et un goût pour une esthétique noire et lente…