Ce fût difficile mais j’y suis parvenu. Rentrer dans la salle de Mad Max en ayant vu que très peu d’images et en conservant une hype totale. George Miller est revenu avec un Max contemporain tout en conservant le viscérale des opus précédents.
La filmographie de Miller est tout à fait particulière presque succulente tant elle surprend. Sa saga Mad Max représente 1/3 de sa carrière dans laquelle on trouve Happy Feet 1 et 2, Babe 2 ou encore Lorenzo. Ce dernier est d’ailleurs le dernier effort « réaliste » de Miller et remonte à 1992. 23 ans plus tard et 30 ans après le dernier épisode de sa mythique trilogie, le réalisateur australien lâche les chevaux sur l’autoroute de l’action frénétique. What a lovely day. Lire la suite