C’est mon premier Maruo. On a tous une première fois. Son premier Final Fantasy achevé après des dizaines d’heures de patience, dans la sueur et le sang ; son premier rapport sexuel après des dizaines d’heures de patience, dans la sueur et le sang –oh ?– ; et son premier Maruo. Fort d’avoir lu quelques centaines de mangas et parmi eux une poignée exhaustive d’eroguro (dont surtout du Shintaro Kago sur lequel on reviendra avec de plus amples détails), je savais un peu à quelle sauce les auteurs de L’Île Panorama allaient me cuisiner. De l’érotisme, du grotesque, peut-être du gore, et surtout une poésie invraisemblable mélangeant sale et sexy. Alors, heureux ?
Des jolies couleurs sur un fond noir. Le ton est donné. |